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S-T VIDÉOS DMS

SOUS - TITRES DES VIDÉOS DMS

QU’EST-CE QUE LE MENTALISME ?
§ Le mentalisme est une science et une technique – L’objet de cette science est l’étude de notre mental par le moyen de l’introspection – La technique vise à développer des méthodes d’introspection, et des moyens d’exploitation de notre mental dans une démarche évolutionnaire, c’est-à-dire pour améliorer ses performances.
§ Science et technique sont inséparables – car l’ingénieur mentaliste a besoin de connaissances, de cartes conceptuelles pour développer ses savoir-faire, et le chercheur a besoin des résultats de l’ingénieur pour valider ses connaissances.
§ Cette science est à la fois ancienne et nouvelle, car les philosophes et les mystiques, les grands sages accomplis, Zoroastre, Lao - Tseu, Bouddha, Epicure, ont toujours eu recours à l’introspection – Les tentatives de la psychologie mentaliste au début du 20 éme siècle se sont par contre soldées par un échec, faute de techniques appropriées  -- Ce qui a favorisé le développement d’une science matérialiste, comportementaliste, physicaliste, fondée uniquement sur l’étude du cerveau et élaborant des théories imaginaires sur notre mental, en l’absence de toute perception directe.
§ Le mentalisme est nécessairement dualiste de substance – Car il développe des expériences mentales qui dénoncent les contradictions des neurosciences cognitives incapables d’expliquer la réalité des phénomènes mentaux – La théorie de l’émergence de la conscience de la complexité de l’information relève d’un scientisme religieux est invalidée par les faits – Notre conscience peut se résumer à sa propre réflexion dans une vacuité absente de complexité – Lors du sommeil profond, notre activité mentale reste extrêmement complexe mais non consciente, alors qu’elle devrait l’être si elle était la conséquence d’une complexité.
§ Ceci pour clore le chapitre de ce qui nous oppose à la science matérialiste dominante – Je pourrai énoncer 20 arguments auxquels elle ne peut pas répondre – Sinon par : on pourra y répondre plus tard – Non recevable, évidement.
§ Le but du mentalisme – Science et technique – Est l’évolution mentale de l’espèce humaine – au sein de chaque personne – C’est une science du soi pour soi – Une science de la vie mentale.
§ Elle propose des thérapies en vue de résoudre des désordres psychiques – Une formation éducative grâce à des cours pour les adultes et les enfants des écoles – Du coaching de développement personnel – Et enfin, une remise à niveau de toutes les science humaines, de la philosophie, la sémantique, la linguistique, la psychologie, la sociologie, l’économie, et la science politique, fondée sur la perception des structures et du fonctionnement de notre mental, et non sur des théories imaginaires non avérées et inévitablement fausses.
§ Il est important de souligner que cette démarche réclame un autre cadre conceptuel que le cadre matérialiste du monde physique, totalement inapproprié pour la découverte et la maîtrise de nos fonctions mentales – L’exploration de nos fonctions mentales réclame un cadre conceptuel propre – Notre univers mental n’étant pas régit par les mêmes règles, ni les mêmes lois ou principes, que celles du monde matériel causal – de la substance ou de la matière inerte. Nous y reviendrons dans d’autres vidéos.

LE CERVEAU
§ On a d’abord considéré que le siège de l’être se situait au niveau du ventre, puis au niveau du cœur, la poitrine étant la zone où nous ressentons les émotions positives de joie et d’amour (nous en avons conservé de nombreux restes dans notre langage) – La science a déplacé ce siège au cerveau, on est monté d’un cran, mais il lui reste encore un grand pas à faire !
§ Car le cerveau est un organe biologique, tout comme le foie ou le cœur, avec des tâches organiques spécifiques assurant une bonne marche de tous nos organes et de maintien de la santé de notre corps – Il nous transmet des informations et exécute nos instructions, ainsi que nous le ressentons – Les  neurosciences cognitives nous disent que c’est une illusion, mais leur thèse matérialiste (physicaliste) est celle d’une théologie scientiste non avérée.
§ Nous n’avons pas davantage la perception du fonctionnement de notre cerveau que de celui de notre cœur ou de notre foie – Nous n’en avons que des impressions de confort ou de souffrance, et c’est tout – Comment pourrions-nous prétendre être lui dans ces conditions ?
§ Les matérialistes défendent leur pétition de principe par des théories tarabiscotées comme celle de l’émergence de la conscience (une grandeur inconnue de la physique) de la biologie du cerveau (rupture de nature) – Ou d’une simple propriété de l’information qui naît de sa complexité, ou d’un feed-back – C’est-à-dire d’un codage électromagnétique, en espérant vainement produire de la conscience à partir d’un ordinateur – Cette démarche dite de l’Intelligence Artificielle est vouée à l’échec – Elle s’effondrera dans 30 ou 50 ans.
§ De multiples expériences mentales démentent cette conception qui présente notre être comme une illusion conséquente du fonctionnement déterministe du cerveau – Voire d’un étage supérieur disposant d’intentions, de désirs, d’émotions, de capacités analytiques, et enfin de conscience – Sans guère nous enseigner comment tout cela peut naître d'activités purement biochimiques ou biomagnétiques.
§ Notre activité mentale est permanente même pendant l’état de rêve, de sommeil profond, les anesthésies et les expériences de mort imminente – Quand le cerveau est dans une phase végétative de maintenance et d’élimination de toxines, très réduite, voire de mort clinique quand son électroencéphalogramme est plat.
§ Tout ceci démontre que notre cerveau n’est pas à l’origine de nos rêves, de nos émotions, et de tout ce qui fait la richesse de notre vie mentale consciente – Nos émotions ne peuvent pas naître du cerveau qui ne fait que transmettre ces données au corps, comme le démontre l’état ataraxique car la biologie est incapable de transformer ses structures à moins d’une mutation génétique.
§ La source de notre vie mentale se trouve donc dans un ailleurs – Non physique – Non spatial – Sémantique – Que certains nomment notre âme, notre esprit, ou notre mental, terme moins confusionnel que je préfère à tout autre.
§ Ce dernier point est très important, et ce pourquoi j’insiste – Car tant que l’on s’identifie à ce cerveau, on reste cloué dans un cadre conceptuel matérialiste et on ne peut pas accéder à nos fonctions mentales – Dont la perception réclame un cadre conceptuel approprié dans lequel le cerveau est absent comme est absente toute existence matérielle.

LA MÉTHODE DMS
§ Elle consiste à ancrer les concepts de nos fonctions mentales, en les distinguant, dans notre mémoire sémantique.
§ Pour cela nous utilisons des exercices mentalistes et une grille : la grille ennéanaire.
§ Ces exercices se pratiquent en méditation.
§ Un de ces exercices consiste en une méditation sur notre image kinesthésique puis de remonter vers la perception de nos fonctions mentales à l’œuvre – Il y en a d’autres, et toutes nos expériences mentales en sont l’occasion.
§ La grille ennéanaire est une carte heuristique de nos fonctions mentales – Elle comprend neuf chiffres disposés en triangle – Ces chiffres ne sont que des numéros d’ordre arbitraire, sans signification propre, ce sont des icônes – Son intérêt est mnémotechnique et sa construction a résulté de ma propre démarche de recherche sur une période de 50 ans.
§ Cette forme en triangle est plus facile à retenir qu’en cercle – Et si l’on fait la somme des chiffres sur les parallèles des côtés opposés au 5, on obtient 10, soit son double – Il faut commencer à apprendre à visualiser cette grille pour qu’elle devienne familière.
§ Ensuite il faut systématiquement associer les percepts de nos fonctions mentales ressentis dans nos exercices aux chiffres de cette grille.
§ Savoir que cette grille est une grille de complémentarité de notre fonction analytique 2, raison pour laquelle elle fonctionne.
§ Cette grille devient une carte de navigation pour explorer nos fonctions mentales après les avoir découvertes, puis leur exploitation consciente. – A l’analyse de ces fonctions succède une démarche évolutionnaire de progression de leurs facultés, d’élaboration de nouvelles facultés mentales – Conscience sémantique – Rêve lucide – Techniques de résolution de problèmes – Intelligence psychologique – Pensée holistique – Il n’y a pas de limite à ces conquêtes, et à cela s’ajoute l’état harmonique de pleine conscience.
§ Au fur et à mesure de cet apprentissage, l’être vivant devient multipolaire – Et non plus monopolaire, dans une unicité confusionnelle – Et la grille cède la place à une perception purement qualitative, le sens a remplacé la forme, une topologie qualitative remplace une topologie symbolique spatiale – Et donc l’avenir de cette grille, c’est son oubli – Tout se transforme, et on rentre dans un schéma d’exploitation gouverné par nos fonctions analytique 2 et volontaire 7.
§ Dans cette démarche nous pouvons distinguer plusieurs étapes qui ferons l’objet d’une autre vidéo.
LES FONCTIONS MENTALES
Définitions sommaires
§ J’ai l’habitude de les présenter dans un certain ordre qui tient à la fois de la progression dans la complexité de leur compréhension et de la construction de la grille ennéanaire – Donc il ne faut voir dans cette présentation qu’un arbitraire de confort.
§ LA CONSCIENCE 5
Chaque fonction mentale se définit par son pouvoir opératif – Celui de la conscience est un pouvoir de révélation d’un contenu conscient, et rien d’autre – Et ceci indépendamment de tous les sens que l’on donne ordinairement à ce terme polysémique – Il faut bien distinguer le contenant qui révèle du contenu révélé, qui n’est pas la totalité de l’activité mentale, mais une petite partie déterminée par des filtres.
§ LA REMEMORATION 1
La remémoration est le pouvoir d’extraire de notre mémoire sémantique des éléments qui ont déjà été conscients, dont nos souvenirs – Tout ce qui est ancré dans notre mémoire sémantique, distincte de la mémoire biologique du cerveau – La mémoire étant un contenu et non une fonction mentale.
§ LA CONCENTRATION 6
Le pouvoir opératif de la concentration duplique du sens dans la durée – Elle peut être statique ou dynamique.
§ LA VOLONTAIRE 7
Elle comprend deux sous-fonctions : La direction volontaire qui décide mais ne juge pas et le jugement arbitraire qui juge mais ne décide pas – C’est une fonction essentielle, source de nos intentions, qui manifeste notre libre arbitre – Elle est l’organe de direction de notre vie mentale.
§ LA MOTRICE 4
Cette fonction nous sert à diriger notre corps, et donc aussi notre parole, notre écriture et tous nos gestes. – Elle utilise une multitude de structures comportementales, nos apprentissages, quelle opère avec des raccourcis – C’est aussi par elle via l’interface que remontent vers notre mental notre image kinesthésique et les informations sensorielles du monde physique dans l’environnement de notre corps.
§ L’ANALYTIQUE 2
C’est une fonction formelle, logique, complexe, qui utilise des opérateurs, des formes élémentaires, des concepts logiques – Nous ne pouvons pas l’identifier à la raison, qui fait appel à d’autres facultés – Elle possède trois modalités : STRU qui structure le sens, GEST qui le gère en mémoire, et PROP qui propose des solutions aux autres fonctions mentales.
§ LE JOKER 9
Cette fonction transcendantale affirme péremptoirement sa confiance en notre être – Ensuite, son aspiration à une démarche évolutionnaire du dépassement de soi, qui inspire notre fonction volontaire – Enfin, c’est la fonction qui valide nos structures d’exploitation, nos apprentissages, nos représentations, nos convictions, et donc aussi notre transcendant.
§ LA PATHOLOGIQUE 3
C’est la fonction source de nos émotions – Les principales sont la joie, la peur, la colère, et l’espoir – Elle manifeste aussi de l’amour et de la haine et des sentiments sociaux : supériorité – infériorité, mérite – culpabilité, fierté – honte.
§ L’ENERGIE 8
Tout ce qui précède nous montre une production de sens qualitatif – Notre être possède également une dimension quantitative avec cette énergie mentale qui va accompagner ce qualitatif et assurer sa pérennité en mémoire – Se traduire par des variations d’intensité et donner une  puissance considérable à nos émotions.

LA CONSCIENCE 5

LA REMÉMORATION 1

LA CONCENTRATION 6

LA VOLONTAIRE 7
La direction volontaire 7d

Le jugement arbitraire 7j

LA MOTRICE 4

L’ANALYTIQUE 2

LE JOKER 9

LA PATHOLOGIQUE 3

L’ENERGIE 8

CONSÉQUENCES DES CONVICTIONS MÉTAPHYSIQUES




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